Je l’ai surpris partir, comme je l’avais vu venir. votre excellent jour d’hiver, petit a <a href="https://datingmentor.org/fr/wamba-review/"><img src="https://i.pinimg.com/originals/21/b8/06/21b8069eb7df4634cc3b1865c0db9ff8.jpg" alt=""></a> petit, doucement.

je me souviens des premieres fois loin l’un de l’autre et de ces premieres fois, ou l’on apprenait a se connaitre.

J’me souviens des sourires, de ces mots, des mains.

il est une fierte. mais en amour, il n’y a aucune fierte. alors au fur et a mesure que l’amour s’estompait, je m’en suis allee et il va i?tre reste. au fur et a mesure que le temps passait, il s’en est reste et il m’a quitte.

en partant, l’amour s’estompait. et pourtant, un coup part, J’me suis rendue compte que l’amour est au coin de toutes ces trucs qui nous liaient et que je pretendais ne pas voir.

l’amour etait la au quotidien, au quotidien, ds un regard et ds une presence.

parce qu’aujourd’hui, nous sommes exigents et en aussi moment tellement incertains.

l’amour ne reside ni en une phrase, ni en une conversation telephonique. l’amour c’est une telle presence qui vous entoure a chaque fois que vous en ressentez le besoin, l’amour ce sont ces bras qui vous enlacent a chaque fois que vous en ressentez le besoin, l’amour ce sont ces levres qui vous consolent a chaque fois que vous avez besoin.

l’amour, c’est en somme 1 poids trop lourd. puisqu’il comporte regrets et souvenirs.

l’ensemble de ces souvenirs qui vous lient a lui et qui vous font penser que celui-ci reste encore qql chose de votre amour et de toutes ces fois. parce que tout comme vous avez ete la seule, il a ete le seul.

le seul, a vous avoir fera consulter l’amour votre excellent jour d’hiver.

l’ensemble de ces souvenirs que vous caressez de toutes vos larmes. ces larmes qui vous rechauffent, parce que douces et ameres.

l’amour, c’est tel la pluie, ca tombe du ciel, ainsi, vous ne vous y attendez pourra etre nullement. mais si peu de gens pour lever la tete.

je regrette d’avoir garde le regard rives au sol. quand bien cet amour me provenait du ciel.

je ne l’ai jamais surpris partir, mais j’aurais du le retenir. je n’ecris ni concernant le retenir ni concernant le maintenir. je marque parce que bien et cela me lie a lui, tout cela me fait regarder des autres differemment, est et demeure en moi.

parce que J’me suis rendue compte, non trop tard que je l’aimais. parce que je sais tout simplement que je l’aime.

parce que l’amour n’est ni un amour ni un apprentissage, et qu’un coeur blesse continue d’aimer.

parce que le plus beau des combat est celui qu’on se livre a soi aussi.

parce que l’amour reste tel la pluie qui nous lave de bien ce qui est derisoire.

parce que je l’aime.

e l’ai decouvert partir. sans la retenir

Un matin ou rien ne presageait, elle s’en est alle. Comme chaque matin, elle est passe me dire bonjour. Mais ce matin j’ai ete le dernier jour. Elle est venue par moi, le sourire tout d’un ange sur ses levres. Son regard petillant mais de la tristesse autour. elle m’a ennivre de son parfum, ebloui de le teint. ses levres sur la joue, rien De surcroi®t doux. sans me dire que c’etait la derniere, J’me suis laisse faire. Comme chaque matin i  propos des quais, on s’en est alle. prendre le train de une quotidien. Puis le train a demarre, de nous il ne semble s’i?tre nullement soucie. ne sachant ou nous mener. Puis tu m’as fixement regarde, intensement fixe. figeant surement mon image dans ta memoire. d’une tendresse inegale ta tete tu as pose, sur mon epaule attentionne. Coeur serre, mains moites et regard brouille je commencais a saisir l’instant. je venais de saisir qu’un tel moment ne se reproduirai jamais. que votre toute premiere est aussi la derniere fois. du regard je t’ai cherche, est en mesure de etre aussi supplie de ne point me quitter. tu l’as fuis, peut etre lache mais tu as persiste sans relache. pourquoi as tu decide de gacher une amitie t’ai je demande. ta tete tu as releve, puis fixement regarde et soudainement lache “parce que je t’ai toujours aime”. Durant toute ces annees, je t’ai comme soeur considere, tel amie aime, comme confidente adopte. Voila que je m’apercois que d’amour tu me couves, d’attention tu me prouves. Un silence semble s’i?tre assis, lourd, pesant. le temps peut etre aussi s’est arrete. voulait y surement lui aussi que je reflechisse. Mais je n’ai que dalle dis. je n’ai rien fais. Le train s’est arrete, tu t’es leve, la a semble s’i?tre ouverte. Ton regard, au mien, a votre quete. Cherchant pourra etre mon aide, une reponse ou que je te retienne. Rien n’y fera, je t’ai laisse descendre, ton destin en main, prendre. le train a redemarre, sur le quai tu es reste fige, a me regarder. Des larmes j’ai verse, perdre ton amitie, j’y est cede. Notre vie a continue, le train i  chaque fois continue a avancer. Nos souvenirs ont commence a me hanter, m’habiter. Puis soudainement je me suis leve, par la porte dirige. j’ai voulu le train, arrete. Mais il semble s’i?tre emballe. Ton prenom j’ai crie. tu me manquais. Ton regard concernant moi, plus jamais ne se posera, ton sourire plus jamais, faire mes journees n’enjoliveras. mais je me suis surtout a cet instant apercu que je t’aimais d’amour tout court.

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